Mais d'où vient cette coutume de l'orange?
Après la première trêve des équipes nationales, de retour en championnat, c'est la troisième victoire en autant de rencontres disputées (5-2 contre Osasuna) qui garantit le match nul aux Madrilènes, avec 15 victoires consécutives en Liga, un record personnel. qui durait depuis plus de 60 ans. Troisième imprécision : les chiffres avancés par l'appel ("Si par hypothèse vous avez 4 voitures dans la famille, maillot real sociedad 2023 prévoyez une coquette somme d'environ 2500 euros") sont totalement irréalistes. À l'époque judiciaire, les "donnos" existent déjà : ce sont principalement les juges, tandis que les membres les plus proches de la famille sont les "donnikellos". Les rapports confidentiels envoyés au ministère des Affaires étrangères par l'ambassade de Hongrie à Rome, accessibles jusqu'à la fin de 1990, montrent que si le secteur dynamique de la petite-moyenne industrie, surtout dans le Nord-Est, a montré depuis les années 1970 un intérêt croissant pour l'espace Adriatico-Danubien, les gouvernements italiens ont joué un rôle de frein, liés dans le développement des échanges avec l'Europe de l'Est par les contraintes atlantiques (l'Italie restait la principale cible militaire et d'espionnage hongroise au sein du pacte de Varsovie) mais, surtout, par les restrictions commerciales imposées par le COCOM.
En effet, dans cette ville, la classe professionnelle et marchande, venant de toute la Sardaigne et du continent, "n'exploitera pas la terre et les personnes liées à l'agriculture et au pastoralisme", mais en partie avec le commerce, en partie avec les revenus de la profession bien administrée, et avec d'autres revenus, elle posera des bases solides pour le développement de la ville, un développement qui ne se verra clairement que dans les décennies suivantes. D'autre part, la classe professionnelle et intellectuelle augmente également proportionnellement, ainsi que les catégories marchandes : puisque le nouveau guide de la ville sortira de ce second groupe d'immigrés – professionnels et commerçants – j'en ai fait une analyse particulière : il s'agit de noms qui ont fourni à Cagliari des personnalités éminentes dans tous les domaines, tant dans la période étudiée que dans la seconde moitié du siècle et, dans de nombreux cas, jusqu'à aujourd'hui. Cagliari dans la première moitié du XIXe siècle. L'examen des familles et des personnalités qui ont élu domicile à Cagliari dans la première moitié du XIXe siècle ne doit pas nous induire en erreur sur le fait que la plupart d'entre elles acquerront un titre noble. Il s'agira alors de voir si, comment et quand l'ancienne classe aristocratique dirigeante a été remplacée ; si à partir du milieu du siècle ou de la date de l'abolition des fiefs (1838) ou de la proclamation du Royaume d'Italie (1861); ou, comme je le maintiens, depuis le début du siècle.
Comme déjà mentionné, les immigrés viennent généralement occuper des postes typiques de la bourgeoisie ; Je n'ai pas remarqué, étant donné que j'ai surtout examiné les registres des naissances et des mariages, l'arrivée des religieux dans la ville : et en réalité, pour eux les causes de transfert sont différentes de celles des laïcs. Je précise, pour les noms cités ci-dessus, qu'il ne s'agit pas d'un transfert de familles, mais d'individus seuls qui, en s'installant en ville, forment une nouvelle famille ; si l'on veut, on urbanise une branche de la famille qui, pour l'essentiel, reste dans le pays d'origine. En effet, s'il est vrai que la transformation socio-économique de la ville se manifeste par le processus de développement de l'ensemble de la population, il est également vrai que l'évolution de la population elle-même est plus facilement et objectivement détectable, dans cette période, en analysant la réduction du poids spécifique de la noblesse, surtout féodale, et de l'installation de la bourgeoisie composée de professionnels et de commerçants comme dirigeants de la ville et de l'île. Les fonds engagés pour ce développement proviennent également en grande partie de l'agriculture et du pastoralisme ; mais ces revenus sont principalement dus à des compétences d'entreprenariat agricole et d'élevage, pour exploiter des viviers, des mines et des carrières, capacités affaiblies, ou plutôt, complètement disparues chez les seigneurs féodaux, qui de fait ne tiraient plus rien de ces actifs.
Pour ces derniers, il faut noter que très peu de commerçants sont sardes, alors que la plupart viennent de la péninsule et parfois de l'étranger. On peut conclure en affirmant que l'on voit, jusqu'au XVIIIe siècle, l'entrée dans la classe noble : tandis qu'au XIXe siècle s'instaure la classe nouvelle, la bourgeoisie, qui souvent, fascinée par l'ancien régime, obtient du Roi l titre convoité de noblesse. Chez les marchands, boutiquiers, artisans, ouvriers, leur nombre modeste au XVIIIe siècle laisse croire que le travail ne leur manque jamais, et donc les quelques transferts vers l'intérieur de l'île n'interviennent qu'en cas de mariage ; alors que je suis amené à exclure toute pertinence quantitative d'une émigration hors de Sardaigne. Ils devinrent Visconti en 1506) et le titre fut accordé plus tard ; dans d'autres cas encore, le titre est accordé pour les mérites guerriers à ceux qui possèdent déjà la querelle (c'est le cas de Giovanni Amat, qui possède déjà la Villa de Villanova del Rio, aujourd'hui Villanova Monteleone, et en 1642 il a été créé comte, et en 1646 marquis de Villarios). Dans d'autres cas, le fief est acheté (par ex. La thèse que j'ai énoncée repose sur deux éléments fondamentaux : le déclin de la noblesse d'origine féodale et la transformation de la population de Cagliari (la noblesse de Sassari a plutôt conservé sa richesse non seulement tout au long du XIXe siècle mais pendant une bonne partie de le 20!).
Leave a Reply